Description détaillée de l'article


Nouvelle Recherche
244804
robe nuptiale
CD95-257
S90-1690

Numéro de artefactD-10764
Affiliations culturelles actuellescanadienne
Toutes les affiliationscanadienne (culture)
Catégorie03 : objets personnels
Sous-catégorieC100 : vêtement, de dessus
Lieu d'originePays - Canada, Province - inconnu
Lieu d'utilisationPays - Canada, Province - Ontario
DimensionsLongueur 107.0 cm, Largeur 28.7 cm, Épaisseur 14.9 cm
Artiste / Artisan / Fabricantinconnu
Personne  / InstitutionPersonne associée, McTaggart, Josephine Maud
Date du début1884/01/01
Date de la fin1884/12/31
Activité connexemariage
LégendeÀ propos de cette robe de mariée de la famille McTaggart
Robe de mariée, London (Ontario), 1884
Information supplémentaireRobe de mariée de soie ivoire. Le corsage est ajusté, doublé et baleiné. Le devant est pointé avec une fermeture avant à 18 boutons; boutons sphériques recouverts de lampas. Le dos est coupé en six sections : les quatre sections centrales couvrant la longueur de la jupe et la traîne sont coupées de manière à permettre aux quatre groupes de tissu froncé de se rejoindre à la base des trois coutures centrales du dos. Le col est droit et couvert de tulle plissé sur l'extérieur et orné d'une boucle à la gorge. Une frange de soie plissée et superposée est cousue à l'intérieur de la partie arrière du cou. Les manches étroites sont coupées en deux pièces et ornées de tulle ruché et d'une rosette en ruban large. La jupe est cousue à la taille avec un empiècement étroit; ouverture à agrafes au milieu du dos. Il y a un pli inversés sur le centre avant et de chaque côté de la jupe. Il y a un large panneau de peluche en bande autour du devant et des côtés piqué à la doublure; Décoré de volants plissés; quelques franges plissées au bas de la traine. Un panneau triangulaire de peluche cousu pour suggérer un revers de chaque côté de la traine; frange anti-poussière. Les agrafes du corsage sont situées à l'intérieur de la taille. Quelques petits morceaux de l'étoffe ayant servi à la robe sont conservés avec la robe. Il y a une photocopie d'une petite découpure de journal dans les dossiers qui se lit : MARIÉS. McTaggert-Spencer - À la résidence du père de la mariée, 594 Queen's avenue, 17 sept. 20 h par le Rév. D.G. Sutherland, LLB., Alexander McTaggert, M.D., à Josephine Maud, fille unique de William Spencer, tous de Londres. (Voir aussi D-10765 a, D-10765 b-c, D-10766 a-b, D-10767, et D-10768 pour d'autres morceaux de l'ensemble nuptial.)
Témoignage des goûts et des valeurs de la société victorienne, le costume nuptial représenté ci-contre sur un manequin fut porté en 1884 par une jeune fille d'une riche famille du sud de l'Ontario. Taillé dans une étoffe de soie côtelée de couleur ivoire et garni d'une tournure et d'une traîne, le vêtement comprend une jupe à falbalas en peluche de soie et un corsage distinct, ruché de tulle au col et aux poignets. Destiné à n'être porté qu'une seule fois, ce costume est à l'image de la jeune mariée victorienne réservée et respectueuse, exquise dans sa toilette d'une teinte évocatrice de fraîcheur. Le voile, comme dans de nombreuses autres cultures, se voulait un symbole de la «pureté» de la mariée, de même que le bouquet de fleurs d'oranger, de syringas ou de roses blanches. À l'époque victorienne, comme de nos jours, le mariage était pour la mariée et sa famille l'occasion de réjouissances et de retrouvailles. C'était aussi l'occasion pour eux de faire montre de leurs richesses et de leurs plus belles parures. Chez les familles moins fortunées, les usages étaient plus simples. La mariée choisissait pour la cérémonie un costume de la couleur qui lui plaisait et le conservait par la suite pour les grandes circonstances.
Multimédia
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